Ramon pénétra enfin dans la commanderie, laissant sa monture à un garde. Un homme, les traits tirés et semblant irrité, l’accueillit et présenta ses excuses.
-Je vous remercie de bien vouloir me recevoir, il est vrai que le temps me manque quelques peu, je crois comme tout un chacun, d’où mon énervement. Je comprends ce pendant vos problèmes, laissons donc de côté, ce petit contre temps.
Ramon emboita donc le pas du Chancelier, en regardant autour de lui.