[rp] Dans les bois ...

Précautionneusement, les deux hommes avançaient dans la forêt, prenant grand soin de ne point trop secouer le blessé étendu sur la claie. Mais à chaque mouvement d'icelle, le Grand Maréchal grimassait sans pour autant se plaindre.

Le soleil montait lentement dans le ciel. Il ne devait pas être midi quand les deux porteurs atteignirent enfin le chemin conduisant à l'entrée de la bastide. Doucement, ils déposèrent la civière : leurs bras commençaient à devenir douloureux.

Phoebus pris son outre et proposa à messire Phenix un peu d'eau. Il en bût à la suite une gorgée et la tendit à Japy. Après avoir récupéré un peu de leurs forces, ils relevèrent le blessé et se remirent en route. La progression était plus aisée qu'en forêt mais ils n'allèrent pas plus vélocement pour éviter les soubresauts...

Katou avait fait préparer la charette, elle partit sitot que dame Eden lui avait remis une petite potion. Elle partie le plus vite qu'elle pu pour rejoindre le petit groupe. Près de la forêt elle vit Japy et Phoebus entrain de se rafraichir. Arrivant à leur hauteur elle fit demi tour pour évité que Phémix ait le minimum de coup et que ses souffrances soient moindre. Les deux hommes prient Phénix et le montèrent dans la charette délicatement. Le pauvre souffrait attrocement.

Dans la charette Katou avait prit soin d'amener plusieurs couverture et une grosse groude d'eau. Une fois Phenix bien installé, Katou sortit une petite fiole, elle mis sur la petite éponge que dame Eden lui avait donné et mis avec précaution deux goutte de la potion dessus. Doucement d'un mouvement de coté elle passa la petite éponge sous le nez de Phenix...

Les deux hommes semblait être interrogatif et regardaient Katou sans dire mot. Pheix semblait moins souffrir.Katou regarda les homme et leur dit...

Messieurs, c'est un anestésiant que dame Eden m'a donner, maintenant il devrait moins souffrir de ses blessures. Je vais rester avec lui derrière, qui prend les rennes?

Après ces mots, Katou prit la gourde, l'ouvrit et la porta aux lèvres de Phenix. Il prit quelques gorgées avec difficulté, il était presque désidraté. Puis elle versa de l'eau sur un linge qu'elle mis sur son front qui était brûlant...

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La douleur ... Phenix n'était plus qu'absorbé par elle tant et si bien qu'il ne perçevait plus rien des alentours. Les hommes qui l'aidaient, dame Katou, le jour qui se levait ne lui laissaient qu'une illusoire impression. Il souffrait mille maux et serrait les dents pour ne point hurler.

Malgré les immenses précautions prises chaque mouvement sur la civière lui était intolérable, il eut sans doute préferé perir en cet instant plutôt que de continuer ainsi à souffrir le martyr.

Cependant la fièbre commencait à le gagner, apparement la plaie ouverte de sa jambe s'était infectée et des idées étranges s'installérent dans son esprit. Il n'était plus là, mais sur sa fidéle jument Aélis. Il chevauchait auprés de son ami Yourtebab et se rendait à Losse pour y reçevoir un ambassadeur etranger... C'est dire qu'il voyait même sur la dordogne les fameux bâteliers que jadis il observait depuis son bureau de Chambellan à Losse avec sa longue vue...

Par Dieu !! Comme j'ai mal !! s'ecriait il de temps en temps.

Un eblouissement soudain lui fit cligner des yeux et le ramena à la réalité, le groupe était sorti de la forêt et même la lumière du jour lui faisait mal ...

Il se sentit soulevé, mis ailleurs.. allongé de nouveau ce qui avait reveillé chez lui les epouvantables douleurs qui lui prenaient toute la jambe désormais. Sa tête tambourinait comme la cloche de Bergerac au midi et sagorge, semblable à du carton ne semblait plus rien vouloir avaler.

Quelqu'un plaça sous son nez un parfum amer et inconnu qui le plongea presque aussitôt dans une sorte de torpeur mais il pouvait TOUT entendre ..

Allégés de leur charge, les deux hommes reprirent leur souffle alors que dame Katou faisait absorber au Grand Maréchal une potion calmante après qu'icelui fut hissé avec moult ménagement sur le chariot et installé aussi bien que possible.

Ayant recouvré ses forces, Japy ne se posa point de question et s'installa sur le banc avant de l'attelage, faisant place pour que Phoebus puisse s'y assoir. Il saisit les rênes et mit le cheval au pas, estimant qu'une course trop rapide provoquerait des secousses inutiles.

On était à prèsent à la remontée. Le ciel de cet après-midi commençant était parsemé de nuages gris dont l'ombre assombrissait par moment le chemin de terre...

Bientôt les chaingles de la bastide de l'Ordre apparurent. Japy fut tenter d'accélérer l'allure mais s'y refusa. La sarrasine était levée indiquant ainsi qu'on les attendait. Il ne s'arrêta pas lorsqu'ils passèrent devant le vegille qui gardait l'entrée. Celui-ci reconnut dame Katou dont les traits tendus témoignaient de son inquiétude : calmé par la potion administrée, messire Phenix n'en avait pas moins de la fièvre, signe possible que ses blessures s'enflammaient peut-être.

On arriva devant l'hospital. Phoebus et Japy sautèrent à terre. Avec l'aide de dame Katou on remit le blessé plongé dans un sommeil fièvreux sur la claie. Phoebus et Japy aidés par quelques frères accourus le transportèrent à l'intérieur du bâtiment.

Invité

Le petit jour se levait, Marine avait trouvé la couche bien vide... Son époux ne semblait plus être à ses côtés et pourtant au coucher il était bien là...

Elle sortit du lit se disant qu'il avait sans doute dû être appelé à la hâte pour répondre à une demande des plus importantes...

Elle le savait très fidèles à ses engagements et pour rien au monde il n'aurait pu ne pas répondre par l'affirmative...

Se redressant après s'être assise sur le bord du lit, elle se leva et passant une tenue plus chaude par dessus sa tenue de chambre, elle vint aux abord de la fenêtre et laissa érer son esprit...

Elle restait admirative face à la beauté des lieux... Son regard se perdait de plus en plus loin, profondément lorsque soudain, elle vit un attroupemetn de personnes au loin...

Quelques ombres, trois ou quatre et ... Elle fronçait les sourcils comme pour mieux voir ce qu'ils semblaient porter... Une civière...

Par Aristote !!!! Mais ils transportent un blessé !

Nouvelle résidente elle ne savait quoi faire ou comment agir, elle savait que de toute façon la personne transportée devait etre entre de bonnes mains mais soudain elle ressenti comme une douleur en elle...

Phénix mon ange, mon aimé, mais ou êtes vous, ou avez vous pu aller à ces heures si matinales...

Ses mains se croisèrent et se crispèrent de plus en plus sans même savoir pourquoi... Un sentiment étrange s'emparait d'elle à présent...

Sconte sortit du château et ce rendit dans les bois et ce dirigea en direction du lac.

Arrivé à destination il enleva ses vêtements et piqua une tête pour ce rafraîchir, une fois la petite trempette terminée, il se rhabilla et partit ce promener dans le cœur de la forêt il regarda tout autour de lui puis s’arrêta et se mis à écouter les oiseaux qui chantaient.

Prêt d’un arbre il se mis assis et ferma les yeux pour profiter de ce moment de paix et de silence.

Bethany n'arrivait pas à se concentrer sur son travail . Depuis quelques jours , elle n'allait pas très bien , elle passerait à l'infirmerie si son état ne s'améliorait pas .

Elle décida d'aller se promener un peu , l'air lui ferait certainement du bien .

Elle commença par se promener dans le parc du chateau puis sans même sans rendre compte se retrouva dans la forêt .

La pénombre des arbres transpercée par les rayons du soleil que le vent balottaient à travers les feuilles , ajoutèrent à son état de fatigue et de demi conscience une douce rêverie .
Depuis plusieurs jours , elle était triste . Avec Sconte , ils n'arrivaient presque plus à se voir et son absence la faisait cruellement souffrir . Mais leur travail leur prenait beaucoup de temps et lorsqu'ils avaient du temps libre , ils le consacraient à leurs enfants .... et bien souvent ce n'était pas ensemble .
Depuis leur retour de voyage , c'était devenu difficile , elle avait pris l'habitude de rester avec lui presque en continuité .Elle se rendait bien compte que l'amour qu'elle lui portait était bien plus intense chaque jour .... elle l'aimait inconditionnellement .... d'un amour sans bornes , c'était lui.... tout simplement .

Même le chant mélodieux des oiseaux qui gazouillaient n'arivait pas à la tirer des méandres de sa rêverie .... elle continuait d'avancer .... pensant à lui .

Un léger souffle d'air s'engouffra dans les arbres et elle s'arrêta d'avancer un instant .... ferma les yeux .... elle avait l'impression qu'il était là .... que de ses lèvres il caressait son visage .
Elle rouvrit les yeux et se rendit compte que ce n'était que rêverie .... qu'il n'était pas là et elle se mit à pleurer doucement .

Elle s'enfonça un peu plus dans la forêt , le visage baigné de ses larmes , le regard perdu dans le vague .... elle s'imagina même le voir étendu au pied d'un arbre .... endormi .

Elle continua d'avancer vers cet endroit qui lui paraissait irréel .... jusqu'au moment où elle comprit enfin qu'il était réellement là .... son coeur bondit de joie dans sa poitrine .
Elle n'osait pourtant pas le croire .... mais il était pourtant bien là , à quelques petits centimètres d'elle . Elle resta un moment sans bouger , le contemplant .... il était mouillé comme s'il s'était baigné .
Elle avança sans bruit et se trouva juste à ses côtés .... elle s'agenouilla et posa ses lèvres sur les siennes .

Sconte qui dormaient contre l’arbre sent un doux baiser sur ses lèvres il ouvrit les yeux et se cru dans un rêve devant lui se tenais Bethany sa femme il n’en revenait pas.

Pour être sûr que ce soi bien elle il se pinça le bras très fort.

Mais oui s’étais bien elle….

Il se précipita sur elle et l’embrassa tendrement mais avec furies tellement elle lui avait manqué avec ses bras il la serra très très fort contre lui.

Ho mon amour enfin je te vois.

Et l’embrassa à nouveau…

Je t’aime, je t’aime, je t’aime.

Son cœur battait la chamade car il était heureux de pouvoir la voir et la serrer dans ses bras, des larmes se mis à couler sur ses joues des larmes de bonheurs.

Tu me manque tellement que je te vois partout et j’ai cru que ce n’était encore d’un de mes mirages mais non tu es là contre moi.

Mon amour je ne trouve pas les mots pour décrire la joie que j’ai d’être avec toi .
Et l’embrassa langoureusement.

Val1 profita de la fin de la semaine pour aller faire une promenade dans les alentours du domaine. Il avait tenté de le faire, amis chaque fois, soit c'était la nuit ou alors, trop occupé.

Il profita donc d'une belle journée ensoleillée et pas trop chaude en cette fin de matinée pour sortir.

Il passa le poste de garde en saluant le garde à la porte. Il lui indiqua qu'il allait se promener et qu'il serait de retour assez vite.

Il contourna donc la batisse. Il profita de la voir par l'extérieur. Certaines zones lui étaient inconnues parce qu'il n'avait pas les accès nécessaires, comme les zones de bureaux ou les ambassades étrangères.

Une fois fait le tour, il alla direction les champs, les bois de la zone pour voir un peu ce qui pouvait se cacher. On lui avait parlé d'une rivière, de clairières. Il essayait donc de faire attention et de ne pas se perdre.

En effet, la rivière était là, pas trop grande, pas trop profonde en cet endroit avec des petits endroits pour s'installer et se reposer ou lire ou simplement penser.

Il était d'humeur joyeuse, en espérant que rien ne vienne la gacher, et continua à découvrir les endroits. C'était joli à voir. Un joli endroit.

Il continua à explorer les alentours, en faisant attention de ne pas se perdre et revint ensuite vers la rivière.

Sur le bord, il trouva un arbre pas trop proche des bords de l'eau et s'installa. Il avait pris de quoi lire, quelques parchemins pour écrire. Il s'appliqua donc à remplir tout cela.

Au bout d'un moment, il se décida à revenir au domaine. Il resortit donc de la forêt et retraversa les champs en pensant justement à ses propres champs. Il hâta le pas.

Il franchit le poste de garde en rassurant le soldat en faction sur son retour.

Pour préparer son adoubement sconte alla rechercher la paix intérieure en allant se promener dans les bois du château.

Il était en jeune et il décida de se nourrir de calme et de beauté.

Puis après quelque heure se dirigea en direction de la chapelle pour méditer.

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